BIOGRAPHIE 

Directeur artistique et musical de l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo
Chef principal et conseiller artistique de l’Orchestre symphonique de Birmingham
Chef principal de l’Orchestre philharmonique du Japon
Chef principal invité du Yomiuri Nippon Symphony Orchestra
Chef invité de l’Académie internationale de Seiji Ozawa

Directeur artistique et musical de l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo (OPMC) depuis 2016, chef principal et conseiller artistique de l’Orchestre symphonique de Birmingham (CBSO) depuis 2023, Kazuki Yamada est également chef principal de l’Orchestre philharmonique du Japon, chef principal invité du Yomiuri Nippon Symphony Orchestra et chef invité de l’Académie internationale de Seiji Ozawa. Il a également été chef principal invité de l’Orchestre de la Suisse Romande (2010-2018), ainsi que directeur musical du Chœur philharmonique de Tokyo et du Yokohama Sinfonietta.

Diplômé de la Tokyo National University of Fine Arts & Music, après avoir étudié sous la direction de Kenichiro Kobayashi et Yoko Matsuo, Kazuki Yamada reçoit en 2001 le Ataka-Prize. En 2002, il poursuit ses études auprès de Gerhard Markson à l’Académie internationale d’été du Mozarteum de Salzbourg. En 2009, il remporte le grand prix du Concours international de Besançon et en 2011, le Idemitsu Music Prize for Young Artist.

Régulièrement invité à diriger les grandes phalanges internationales, Kazuki Yamada se produit avec les orchestres philharmoniques de Saint-Pétersbourg, Washington, Luxembourg ; les orchestres symphoniques de Göteborg, Cologne, Berlin, de la NHK de Tokyo et du MDR de Leipzig ; l’Orchestre de Paris ou l’Orchestre dell’Accademia Nazionale di Santa Cecilia. En 2022, il est invité aux BBC Proms avec l’Orchestre symphonique de Birmingham CBSO.

Il collabore également avec de nombreux solistes tels Krystian Zimerman, Emmanuel Ax, Seong-Jin Cho, Nobuko Imai, Martin Helmchen, Lucas and Arthur Jussen, Alexander Kantorow, Evgeny Kissin, Maria João Pires, Baiba Skride, Fazıl Say, Vadim Repin, Boris Berezovsky, Jean-Yves Thibaudet, Frank Peter Zimmermann et Alexander Kniazev.

Désireux de briser les frontières, le chef établit un lien étroit entre Monaco et Birmingham et met en place des concerts collaboratifs entre l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo et le chœur du CBSO. À la tête des deux phalanges, il interprète ainsi Elijah de Mendelssohn et Carmina Burana d’Orff. Le Chœur de CBSO ouvre ainsi sa saison 23-24 avec Kazuki Yamada à Birmingham et à Monaco dans le Requiem de Verdi et la Symphonie n°2 de Mahler.

Kazuki Yamada a enregistré, chez Pentatone, des œuvres de Glazounov, Kalinnikov et Khatchaturian, avec l’Orchestre philharmonique Tchèque (Octavia Records) et une série de 3 Cds inspirés par la danse, avec l’Orchestre de la Suisse Romande. Il a également enregistré 10 albums chez Fontec avec le Chœur philharmonique de Tokyo. En 2017, il enregistre avec l’Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, un disque consacré à Berlioz (pour OPMC Classics), ainsi qu’un album dédié à Chostakovitch, avec le Yokohama Sinfonietta et Alexandre Kniazev. En 2020, il enregistre avec son orchestre de la Principauté deux disques consacrés aux symphonies n°1 et 3 de Mendelssohn ainsi que le Requiem de Fauré.


LA PRESSE EN PARLE 

« La gestuelle de Kazuki Yamada développe un vocabulaire d’une richesse inouïe, punch de karatéka et évanescence de ballerine, qui n’est pas sans évoquer l’élégance d’un Chailly ou la jubilation d’un Kleiber.”
Le Temps

“Entre plénitude sonore et efficacité dramaturgique, le dernier mouvement est conduit avec une autorité et un enthousiasme communicatif par l’excellent Kazuki Yamada.”
Resmusica

“Embrassant l’orchestre avec des gestes amples et gracieux, le chef japonais subjugue. On lit la musique dans ses mains qu’il ouvre ou referme pour signifier l’ampleur du son qu’il recherche. Chaque phrase, chaque moment est ressenti, renvoyé au public avec un soin de la couleur, de l’intensité, du discours que l’orchestre de la Suisse Romande restitue avec une beauté orchestrale qu’on se réjouit d’entendre. Une jubilation sonore. Sans que jamais la structure de l’œuvre n’en souffre.”
Resmusica


VIDEOS

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