CONTACTS
CATHY SARFATI
Directrice département tournées
csarfati@productions-sarfati.fr
CLAUDIA ATKINSON
Attachée de tournées
catkinson@productions-sarfati.fr
LE TESTAMENT MEDICIS
Auteur | Stéphane Landowski
Mise en scène | Raphaëlle Cambray – Assistante mise en scène | Sara Kejler
Avec | Karina Testa, Eric Prat ou Jean-Marie Frin, Antoine Pelletier, Mickaël Abiteboul ou Sébastien Lalanne, Nicolas Poli, Massimo Riggi ou Audran Cattin
Scénographie | Pauline Gallot
Lumières | Denis Schlepp
Costumes | Mélisande de Serres
Création musicale | Raphaël Sanchez
Vidéo | Femme Fatale Studio
Durée 1h30 | Tout public
SYNOPSIS
Paris, de nos jours. Après des années à veiller sur le sourire le plus célèbre du monde, le gardien de la Joconde s’apprête, non sans émotion, à prendre sa retraite. Alors que commence son dernier tour de garde, il convoque Laurent, son fils, pour lui confier un récit connu de lui seul : la véritable histoire de Mona Lisa …
Entrainé par le vieux gardien dans le labyrinthe des siècles, Laurent entame un voyage extraordinaire qui lui fera comprendre qu’il n’y a pas de chefs d’œuvre sans mystère. Et encore moins de famille sans secrets …
” L’intrigue de la pièce, bâtie comme un thriller, permet de gratter, couche après couche, le tableau de Vinci pour en découvrir toutes les versions, et retrouver, au bout du chemin, l’ultime, l’originale, l’histoire fondatrice qui permettra à nos personnages de saisir pourquoi ce tableau a tant de sens, pour nous bien sûr… et surtout pour eux. Comme le dit le gardien à son fils, ce n’est pas la réputation qui fait la valeur d’un tableau, mais l’écho qu’il fait vibrer en nous et sa capacité… à nous rendre plus humain ! ” Stéphane LANDOWSKI
LA PRESSE EN PARLE
« Au gré de la plume de Stéphane Landowski, les fantômes ne cessent d’apparaître et de disparaître jusqu’à tisser un joli récit. Celui-ci, porté par l’astucieuse mise en scène de Raphaëlle Cambray et par la puissance de l’imaginaire, entremêle les fausses pistes et les vrais épisodes de l’histoire d’un tableau qui, malgré son aura, conserve une large partie de son mystère. » Télérama