DANIEL LOZAKOVICH

STANISLAV SOLOVIEV

Récital violon – piano

BRAHMS
Sonate n°3

BACH
Chaconne en ré mineur

YSAYE
Sonate n°5 pour violon seul en sol majeur op.27

FRANCK
Sonate

À PROPOS DU SPECTACLE

Jeune prodige du violon, Daniel Lozakovich aborde le répertoire avec exigence et maturité.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Daniel Lozakovich, ce jeune violoniste de 20 ans « tutoie l’Olympe musical depuis déjà de nombreuses années ». Celui que l’on surnomme ” le jeune prince du violon” et que l’on compare à Yehudi Menuhin, est repéré dès son plus jeune âge par Vladimir Spivakov, avec qui il donne son premier concert à l’âge de 9 ans. Depuis, Daniel Lozakovich mène sa carrière tambour battant. En 2016, il signe un contrat d’exclusivité chez Deutsche Grammophon, à la suite duquel un album consacré aux deux concertos pour violon et à la Partita n°2 de Bach séduit la critique. En 2019, il sort un enregistrement dédié à Tchaïkovski et signe en 2020 un nouveau disque autour du Concerto pour violon de Beethoven. Sur scène, il a déjà côtoyé les plus grands, de Valery Gerviev en passant par Andris Nelsons, Esa-Pekka Salonen, Christoph Eschenbach, Neeme Järvi, Nathalie Stutzmann, Semyon Bychkov, Ivry Gitlis, Emanuel Ax, Renaud Capuçon ou Shlomo Mintz. Pour sa seconde venue au Théâtre des Champs-Elysées, Daniel Lozakovich partagera la scène avec Stanislav Soloviev. De Bach à Franck en passant par Brahms et Ysaye, les deux virtuoses ont choisi de nous communiquer leur amour de la musique en nous livrant toute la palette de leurs talents.

Coproduction Productions Internationales Albert Sarfati | Théâtre des Champs-Elysées

LA PRESSE EN PARLE 

“Il va sans dire que le talent inné du jeune violoniste suédois fait preuve d’une maturité interprétative époustouflante, d’une musicalité exquise et d’une connaissance parfaite et absolue des pièces qu’il joue.”
Opera World

“Daniel Lozakovich […] a fait ses débuts à New York. Il a ouvert le bal avec la monumentale Chaconne pour violon seul de Bach aux tonalités sombres, pénétrantes et dramatiques. Dans cet environnement informel, sa prestation semblait épique.”
The New-York Times